Au fil des temps, de nombreux concepts généreux ont été élaborés et adoptés au sein du système des Nations unies, tantôt pour préserver le principe de la souveraineté des États, tantôt pour contourner cette souveraineté. Il en va ainsi du principe de la « Responsabilité de protéger », adopté en 2005 par l’Assemblée générale de cette institution internationale, dont la présente étude essaie d’examiner les difficultés de sa mise en œuvre en République Centrafricaine.